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Vœux 2022, diffusion janvier.

Janvier c'est la période des vœux de nouvelle année, heureux de savoir que les élus ont pensé aux souhaits aux habitants. Mais moins heureux de ne pas être conviés en même temps à la participation aux enquêtes publiques environnementales.

 

Et même surpris qu'elles soient déjà  commencées. Merci aux "veilleurs" de nous avoir prévenus. 

 

Nous ne pouvons donc que réagir par la distribution d'un tract de mobilisation pour les habitants "oubliés", ceux du Nord canal puisque l'enquête sur le basin versant du ru de Coupvray au sud du canal, comporte étrangement une poche sans rapport au nord du canal.  Oubliés d'autant plus puisque ceux des constructions existantes dans le bas de Coupvray au nord , sans réseau pluvial, ne sont pas compris ni même avertis que ça les concerne puisque une enquête intitulée "sud canal". Donc lors des fortes pluies comme celles des 19-20-21 Juin ou du 13 juillet nous subiront encore les débordements dans le réseau des eaux usées, les points bas seront de nouveau inondés, les trop pleins continueront de rejeter depuis la station de refoulement odorante de la rue du pont de Try pour polluer l'eau du canal.

 

Présentation

Titre et Régularisation des PAC

enquête iota

plan BV sud canal

 

Notre tract est lisible ici    tract 2022 v3.pdf

Le dossier de l'enquête Coupvray est consultable en mairie de Coupvray, l'ensemble des 3 enquêtes en Mairie de Chessy.

A Coupvray le Commissaire Enquêteur sera présent seulement le samedi matin (9h 12h) 29 janvier.

 

Les liens sur le site préfecture donnés dans l'article suivant du blog Coupvray-unofficiel.info. 

 

Le département a diffusé une plaquette nationale sur le plan d'actions de la gestion du pluvial actualisée en novembre 2021.

Pour avoir une idée du dossier  sur Coupvray    le menu des 21 +16+18+17+10  soit 82 fichiers à charger dans les pages suivantes:

enquête iota

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Commentaires

  • Toujours malheureux d'être le seul habitant (électeur, contribuable) à rencontrer un Commissaire Enquêteur qui se morfond dans une salle de mairie de 9h30 à 12h. Une enquête qui même si elle ne provoque pas d'opposition et de révolte, suit quand même une logique d'exposition et de planification qui répond à une exigence légale obtenue dans le cadre de la protection de l'environnement. A une époque où les actions des élus sont partout contestées pour tout ou rien, s'informer, se renseigner ou se faire expliquer pourquoi tant de dépenses est un minimum. Le seul affichage sur les bassins, et la publication dans des annonces de journaux que plus personne à part les élus ne lisent (et encore!), la non inclusion dans les news et les actualités des sites (ni même Facebook que je déteste pour son traçage, son indiscrétion et son espionnage y compris chez les communicants des collectivités) y sont probablement pour quelque chose (est-ce voulu? Je n'ose le croire).

    Y a t-il péril dans ces enquêtes? De toute évidence oui quand dans le dossier figurent des données, ou des cartes avec des éléments non envisageables à la lecture des titres.
    Rien que de nommer "renouvellement" semble ne donner aucun élément nouveau et justifie surtout l'absence d'étude d'impact. Mais les exceptions sont pourtant présentes puisqu'il y a tout de même des notions de régularisation, d'enregistrement de modifications qui ont été apportées par rapport à l’enquête publique initiale de 2008. Au moins une chose est intéressante, les plans et les schémas (qui manquent de légendes et de rapprochements aux seuils des normes... ) nous permettent de lire ce qui finalement a été adopté et choisi comme suite aux observations déposées lors de l’enquête de 2007. J'ai encore les mails de mes demandes aux services du SAN qui m'ont répondu ne pas les avoir.

    Ça me permet donc de comparer la situation d'alors, la situation réelle et le projet tel que soumis ici.
    Il ne reste aussi (la plupart des plans sont en fait des plans techniques de soumission aux entreprises) qu'à nous communiquer sur chaque ouvrage (ou IOTA qui n'en n'est pas un !!!) son coût tel que planifié, commandé et au final. Mais là sûrement il me sera répondu que les Autorisations Préfectorales n'incluent pas leur financement.

  • Si peu de gens déposent des observations (c'est compréhensible les dossiers sont vraiment complexes, le jargon technocrate non expliqué, le volume impressionnant, mais ... faut faire avec) il est toujours admirable que les premiers à écrire dans le cahier de l'enquêteur soient le représentant de la Mairie. Ici un texte du 1er adjoint Fernand Verdellet pour reprocher les mauvais réseaux construits par VEA (et Epa, ou ses prédécesseurs?) Mais ce qui cloche c'est que ce soit le même qui représente la commune au sein de l'agglomération comme vice président délégué aux travaux et donc superviseur de la demande d'autorisation des dits travaux. Plus il est aussi le représentant au syndicat des traitements d'eaux (SIAM) et administrateur de Epafance dont le maire-conseiller départemental-vice président VEA est président, ce cumul ne permet-il plus de suivre les points traités dans ces dossiers? Ou plus simplement protester ici n'est-ce que pour relayer les plaintes des habitants lors des inondations de juin juillet? Dénoncer la boue venant du magnifique parvis de l'école ou des canalisations débordantes de la fosse Saint-Etienne et ses voies en cascade, , telles que le retard de réalisation du Bep26a, aussi les écoulements de la future zac de la Dhuis sans mentionner les rejets des effluents du compost et ainsi faire porter par d'autres des erreurs locales.

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